Voilà, les déménageurs étaient venus et petit à petit jouvrais mes cartons pour rendre agréable mon appartement. Javais un peu de mal les week-ends à Paris car je ne pouvais plus aller me balader au bord de la mer. Comme javais commencé à travailler début septembre, je navais pas tellement de temps libre pour essayer de retrouver les activités extra professionnelles que je faisais à Marseille. Il me fallait bien sûr trouvé un cours de claquettes car il était hors de question que jarrêta !
Javais déjà une idée de là ou je pouvais en faire. Quand jétais à Marseille jétais entré en contact, via le net, avec un danseur de claquette qui daprès ses dires donnaient des représentations avec sa copine. Il sagissait du couple « Antoine et Laure ». Il mavait dit quil avait été élève dun certain Victor Cuno qui était un professeur de claquette américain très réputé sur Paris et en Europe en général. Cest donc tout naturellement que jai cherché les coordonnées de cette école.
Jy suis allé un samedi matin, Victor Cuno nétait pas là ce jour là, mais je pris les renseignements auprès de la dame de laccueil. Je ne mattendais pas à de tels locaux moi qui étais habitué à lécole de Laurent. En effet Victor Cuno donnait non seulement des cours de claquettes, mais vendaient aussi des chaussures de claquettes, des livres, des compact discs, des DVD et des chorégraphies en relation avec les claquettes. Du coup, ce qui me frappa cest que lespace réservé au cours était très petit, je dirai à vue dil 30 m². De plus, tout au tour du parquet se dressait des boîtes à chaussures.
Javais pris les informations dont javais besoin. Il y avait au total sept niveaux de cours. Je décidai de commencer par le cours de niveau quatre qui était celui ou lon introduisait les pullbacks. Je devais suivre mon premier cours chez SwingTap, nom de lécole, le jeudi suivant.